D’abord, s’habituer à l’obscurité: les contours d’«Aucun souvenir assez solide» du duo franco-suisse Barbezat-Villetard s’appréhendent sans véritable source lumineuse. Les premières cinq à dix minutes de la visite seront donc dédiées à trouver ses repères, pour se sentir à l’aise dans le gigantesque espace de la Ferme Asile, à Sion – une grange devenue centre […]
Barbezat-Villetard, les sens sur le qui-vive
A la Ferme Asile de Sion, par un tapis phosphorescent, le duo Barbezat-Villetard transforme radicalement notre perception des lieux.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-