Une commission juridique du parlement suisse a récemment proposé de réformer la conception juridique du viol. La nouvelle définition est vivement critiquée au sein des milieux féministes, et des associations de défense des victimes, car elle fait abstraction de la notion de consentement.
Si ce n’est pas un oui clair, c’est un viol. C’est ce que nous expliquent Muriel Golay, directrice du Centre LAVI à Genève, Kaya Pawlowska, membre de la Grève féministe à Genève, et Cécile Greset, juriste et collaboratrice scientifique aux études genre, à l’Université de Genève.
Et vous, qu’en pensez-vous?