La Société pédagogique genevoise refuse le projet EP21. Car ce dernier lie des améliorations pédagogiques bienvenues à une réorganisation horaire vue comme une surcharge.
Sur le fond, la SPG juge déloyal le «marchandage» consistant à proposer des avancées pédagogiques «notables» contre «une détérioration des conditions de travail». JPDS/ARCHIVES