Biden face au fantôme de Guantánamo
L’ONU rappelle l’illégalité du camp où croupissent toujours quarante prisonniers de la «guerre contre le terrorisme» de George W. Bush.

États-Unis
Bien qu’il n’évoque pas le sujet, le nouveau président étasunien va devoir cohabiter avec un vieux fantôme. Le centre de détention illégal de Guantanamo s’est d’ores et déjà invité à l’investiture de Joe Biden, à l’initiative d’un groupe d’experts et d’expertes de l’ONU, qui a choisi l’occasion pour lui rappeler «l’indignité» de ce camp sis sur la base militaire étasunienne de Cuba. A travers un communiqué émis le 11 janvier,
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