La Chine perd un outil d’influence
Après la fermeture de l’Institut Confucius à Bâle, la Suisse n’en compte plus qu’un, celui de Genève.

Culture
Pékin vient de perdre en Suisse un poste avancé de poids dans sa politique de diffusion de la culture chinoise. L’Institut Confucius de l’Université de Bâle (CIUB) a fermé ses portes fin septembre après sept ans de service. Hanban, le Bureau chinois de l’enseignement des langues étrangères qui gère ces établissements de formation à travers le monde, voulait limiter dans la cité rhénane les activités à un enseignement linguistique. L’université
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