Marina K. entre dans le vif du sujet par une première phrase lapidaire: «Je suis grosse.» Il ne faut pas compter sur son crayon pour la démentir, bien au contraire: entre son autoportrait et la réalité, elle l’affirme, il faut compter double. Et de conclure cette première page sur un laconique: «Je le vis mal.» […]
Lignes courbes
Dans Je suis grosse, la dessinatrice Marina K. se trace un autoportrait sarcastique tout en rondeur.

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