Human Right Watch a publié vendredi dernier un rapport dénonçant des détentions arbitraires, des accusation montés de toute pièce et la «persécution des opposants» boliviens par le gouvernement intérimaire.
L’exécutif provisoire mené par Jeanine Añez et son ministre de l’Intérieur Arturo Murillo «a fait pression publiquement sur des procureurs et des juges (…), provoquant des enquêtes pénales contre plus de cent personnes liées au gouvernement [d’Evo] Morales ou contre des sympathisants pour de supposés délits de sédition ou de terrorisme.» Keystone