Montparnasse, terrasse du café La Liberté, personne. Passent en habitués les fantômes de Sartre et Beckett. Enfin, Andréas Becker. En plein tournage de Gueules, film inspiré de l’un de ses précédents livres, il s’est couché à 4 heures du matin, arrive quand il peut, commande un double café-croissant puis s’éveille avec Paris, ce musée chaotique […]
Mots encastrés
Son verbe est un démantèlement, son œuvre une transgression. Le radical Andréas Becker écrit pour la postérité.

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