Les soins intensifs étaient au front pour tenter de sauver les patients les plus touchés par le Covid. Infirmière au sein de cette unité, Emilie Graziano revient sur la crise de ce printemps.
«Il y avait beaucoup de bienveillance. On avait l’appui de psys, on nous proposait des massages pour nous détendre et des ‘pauses hypnose’ pour récupérer. Tout le monde était engagé.» JEAN-PATRICK DI SILVESTRO