A l’université de Neuchâtel, les militants du climat demandent au canton de s’engager pour que les repas servis respectent des critères de durabilité, en restant financièrement accessibles.
«L’Etat doit se donner les moyens de proposer des repas sains et éthiques à un prix abordable. On ne peut sacrifier les plus pauvres sur l’autel de l’écologie», explique Robin Augsburger, représentant de la Grève du climat. KEYSTONE