«Je nais la nuit, j’ai sept ans. Elle me prendrait dans les bras, me dit-elle, mais elle a les mains occupées.» On est saisi dès l’entame par la prose tranchante, claire et rythmée de Tatiana Tibuleac, qui donne sa voix à la narratrice du Jardin de verre. Lastotchka, hirondelle en russe, est le surnom que […]
Eclats d’une enfance orpheline
Dans Le Jardin de verre, Tatiana Tibuleac fait le récit d’une enfance meurtrie en Moldavie.