Auteur d’un récent billet d’humeur intitulé «Du devoir de se taire», l’écrivain Benjamin Hoffmann en appelle au temps long de la littérature face à l’injonction de l’immédiat.
«Loin d’éclairer le lecteur sur sa situation, les journaux de confinement nous parlent avant tout des privilèges de leurs auteurs», selon Benjamin Hoffmann. SHUTTERSTOCK /IVAN KRUK