Dernière lueur avant la nuit
Juste avant que la plupart des salles ne ferment durablement, Tituba se jouait au Théâtre de l’Usine. Ou comment interroger pertinemment la figure de la «sorcière noire».

Genève
Vendredi dernier, dans une salle du Théâtre de l’Usine à la capacité réduite à trente âmes, le Collectif Faites des vagues jouait Tituba. Mise en scène par Florence Auverge-Abric à la manière d’un cœur conteur pour une seule actrice, la proposition révélait la poignante et vibrante Mélissa Catoquessa. D’abord vêtue en habit carcéral, elle retrouve les racines créoles et animistes de son personnage. Et impressionne durablement. La pièce s’inspire du
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