Ils avaient trouvé refuge en Turquie mais la crise économique et la montée de la xénophobie rendent leur vie de plus en plus difficile. Poussés par Ankara, ils s’agglutinent à la frontière avec la Grèce.
Après une première nuit passée dehors, épuisés par le froid et les jets de gaz lacrymogènes, de jeunes réfugiés tentent de négocier
avec les policiers grecs dans la zone tampon. «Ouvrez la porte, ouvrez la porte», répètent-ils en vain. MARIE TIHON