Les Etats membres de l’ONU s’étaient engagés à Beijing à remédier aux inégalités hommes-femmes. Vingt-cinq ans après, ONU Femmes constate que le plus gros reste toujours à faire.
La Suédoise Asa Regner, directrice exécutive adjointe d’ONU Femmes:
«Le milieu des années 1990 a été une période assez progressiste. Depuis lors, on rencontre davantage de résistance à l’égalité de genre.» UN WOMEN/SUSAN MARKISZ