L’archevêque avait été condamné à six mois de prison avec sursis pour ne pas avoir dénoncé les agressions sexuelles commises par Bernard Preynat sur de jeunes scouts.
En première instance, les juges avaient estimé qu’en ne dénonçant pas à la justice les actes qui lui avaient été rapportés par une victime en 2014, Philippe Barbarin avait choisi de «préserver l’institution». KEYSTONE/ARCHIVES