Un accordéon prometteur à côté d’un concertina, une penderie en fer pleine d’habits militaires. Musique d’Europe centrale, mélancolique mais pas trop. Des chants en yiddish, un peu faux, un peu grêles, chantés un peu à côté. La mère, celle dont on dira le courage «nu» au fil de la pièce, s’assied et tricote une écharpe […]
Péripétie inouïe à Auschwitz
Eric Salama monte Le Courage de ma mère à Pitoëff. Un récit improbable de George Tabori, celui d’un aller-retour dans les camps de la mort.

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