L’art de se perdre
David Collin dédie son essai à Victor Segalen, auteur réputé autant pour son style que pour ses pérégrinations.

David Collin s’en défend, ce joli opuscule à la typographie soignée n’a rien d’une «apologie», et au classique exercice d’admiration il préfère «parcours vers et avec Segalen». Le voyage ne saurait être absent de cet essai dédié à un auteur réputé autant pour son style que pour ses pérégrinations, de la lointaine Polynésie à la Chine mais, à dire vrai, que l’on connaisse ou non les écrits du Brestois, rien
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