Des essais nucléaires indélébiles
Né sans bras à cause de tests atomiques en ex-URSS, un peintre kazakh appelle à ne pas relancer la course aux armements. Témoignage en cette Journée internationale contre les essais nucléaires.

Armes nucléaires
«Si vous le souhaitez, on peut piquer votre nouveau-né pour que ni lui ni sa mère ne souffrent», avait proposé l’obstétricien au père de Karipbek Kuyukov. L’enfant était venu au monde sans bras. Une malformation parmi tant d’autres à laquelle s’étaient presque habitués les médecins locaux depuis les années 1950. Et pour cause: à cent kilomètres de Yegindibulak, le village du petit garçon, l’Union soviétique (URSS) testait son arsenal d’armes
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