Vague de répression au Cameroun
Chahuté dans la rue depuis sa réélection contestée fin 2018, l’indéboulonnable président, Paul Biya, a fait arrêter son principal opposant et a interdit les manifestations.

Afrique
A la tête du pays depuis trente-six ans, le président camerounais, Paul Biya, a choisi la manière forte depuis une dizaine de jours pour tenter de mater la contestation de rue. A la suite d’une manifestation non autorisée le 26 janvier, lors de laquelle ont eu lieu des affrontements entre contestataires et forces de l’ordre, le pouvoir a incarcéré plus de 200 personnes, dont une majorité de cadres du parti d’opposition
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