«Ma génération est celle des abrutis qui ont enterré le rêve de Mai 68, des ingrats qui ont galvaudé l’héritage des seventies. Des individualistes, des requins, des yuppies.» Les révolutions aboient, le temps passe. Et de nos pères nous recevons ces luttes héréditaires – utopies désenchantées, causes refroidies comme un brasier que Marie Houriet attise […]
A la jonction des luttes
Des jours meilleurs est un roman d’utopies désenchantées. Ou quand les causes héritées des seventies cristallisent les tensions entre un père et sa fille, sur fond de crise des subprimes.
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