Pour la pose d’un stérilet, certains médecins exigent un paiement cash et en avance. Une pratique répandue dans le canton et que d’aucuns jugent discriminatoire.
Certains gynécologues invoquent notamment des difficultés à se faire régler la prestation après coup, les moyens de contraception n’étant pas remboursés par l’assurance maladie. KEYSTONE