Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Miroir, dis-moi qui je fuis

La douce indifférence offre un jeu de miroirs, où le narrateur piste son double et le précède dans sa fuite, thème de prédilection chez Peter Stamm.
Miroir, dis-moi qui je fuis
Roman

«L’idée de partir m’avait traversé l’esprit.» Toujours, chez Peter Stamm, il y a la fuite. Ses personnages semblent tentés par l’échappée, appelés à disparaître, à s’extraire de ces existences banales que l’auteur alémanique aime à circonscrire. Banalité apparente que l’on retrouve ici: un narrateur raconte son histoire à une jeune inconnue qui lui rappelle son […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné?

Essai 2 mois
Promo: 10.- au lieu de 25.-
Je teste
Accès 1 jour
3.-
Je lis