Téhéran au portable
Troisième long métrage de Parviz Shahbazi consacré à la jeunesse, Malaria explore Téhéran, au travers du téléphone d’Hanna, qui parcourt la ville téléphone à la main.

Cinéma iranien
Les mains gantées d’un policier allument un portable. D’emblée, le spectateur est transporté dans des fragments de vie. Des images de fuite, celles tournées par Hanna, partie de son village pour se rendre à Téhéran avec son amoureux Murry. Alors qu’ils se font prendre en auto-stop par Azi, un vent de liberté effleure le visage de la jeune femme. Arrivé dans la capitale, le couple accompagne des musiciens de rue.
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