Les réfugiés déboutés à l’aide d’urgence doivent pointer à l’aéroport auprès des services chargés de les expulser. Avec le risque qu’ils passent à la clandestinité.
«C’est un immense autogoal social, sanitaire et sécuritaire», a déclaré Aldo Brina, chargé d’information au Centre social protestant (à gauche, aux côtés d’Aude Martenot, membre de Solidarité Tattes, et Me Dominique Bavarel, avocat au Collectif de défense). PBH