
Des réfugiés derrière la caméra
Un projet a permis à neuf jeunes migrants de réaliser leurs propres courts métrages sur leur vie à Genève. Ces films seront diffusés jeudi dans le cadre du FIFDH.
Intégration
Le court-métrage de Ramin débute sur un réveil qui sonne. Il est 6h30. Le jeune réfugié afghan se lève et se prépare, le visage encore fatigué. Il quitte le foyer Frank-Thomas pour se rendre à l’école, où il apprend notamment la confection d’un CV. Il rejoint ensuite un ami, dans sa chambre du foyer. Il tente de le motiver à sortir, malgré les déconvenues. «Ici, il y a l’école, les
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour