Numéro vert, formation des enseignants, prévention… Ces dispositifs existent de longue date pour prévenir le harcèlement sexuel à l’école. Le mouvement #MeToo en a confirmé la nécessité.
A l’heure actuelle, les enfants ne connaissent encore pas suffisamment leurs droits, relève Lydiane Bouchet du Centre de consultation spécialisé dans le traitement des séquelles d’abus sexuels et d’autres traumatismes (CTAS). CEDRIC VINCENSINI