Solidarité «Plus ça pique, meilleur est le pesticide» Au Burkina Faso, un mauvais usage des pesticides affecte la santé des paysans et des villageois. Or, il suffirait de quelques mesures simples pour y remédier, relève une thèse à l’EPFL. jeudi 22 février 2018 Philippe Chevalier Un enfant dans un champ d’aubergines autour du lac de Loumbila, où 70 à 80% des paysans disent ressentir des troubles lors de l’épandage de pesticides. EDOUARD LEHMANN Burkina Faso Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste