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Tentative de déstabilisation

Jacques-André Schneider estime qu’un article du 26 janvier manque de respect par rapport au travail ac-compli par la Fondation Ethos.
Réaction

Aucun d’entre nous n’est parfait, pas plus Ethos et M. Dominique Biedermann que votre journaliste. Il est certain aussi que toute entreprise peut, au fil de son existence, connaître des divergences entre une direction et des salariés ou consultants. Enfin, aucun dirigeant n’est exempt de critiques. Cependant, la façon dont votre journaliste traite Ethos et M. Biedermann dans vos colonnes n’est pas juste, à mon avis.

Il est vrai que les succès et les positions de la Fondation Ethos ont pu indisposer certains. C’est normal. Mais plus problématique est le fait que certains opposants ont pu saisir cette étape de transition organisée entre M. Biedermann et la nouvelle génération de direction d’Ethos pour tenter de la déstabiliser, en s’appuyant sur l’intervention très médiatique de ses deux ex-administratrices. C’est regrettable.

Il aurait fallu s’interroger sur les raisons des étonnantes sorties médiatiques de Mmes Bruderer et Roth. Leur non-respect des plus élémentaires devoirs de retenue et de discrétion qui incombent à une ex-administratrice, rémunérée pendant des années, est un fait suffisamment insolite pour susciter la curiosité sur leurs motivations.

Ethos est une bonne institution qui a rendu, avec ses animatrices et animateurs de longue date et son équipe actuelle, des services inestimables à la cause des investissements responsables et de la bonne gouvernance d’entreprise. Elle aurait donc mérité plus de respect dans vos colonnes.

Prof. Dr. Jacques-André Schneider, président d’ETHOS de 1997 à 2007

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