Ces «squatteurs» qui mobilisent les mal-logés
En procédure contre l’Etat pour sauver leur lieu de vie, les habitants de la maison collective de Malagnou appellent à «prendre la ville» samedi.

«Quand nous sommes arrivés à Malagnou en 2012, cela faisait plusieurs années qu’une occupation n’avait pas tenu plus de trois jours à Genève.» Alors ils ont tenu. Dix ans après l’évacuation de La Tour, du Rhino et la fin de l’histoire des squats genevois, les habitants du 154 route de Malagnou, réunis au sein de l’association Xénope, vivent toujours dans l’ancienne station de zoologie. Ils résistent pour conserver leur lieu de
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