Le monde joue une partition aléatoire
A l’enseigne des Mondes flottants, la 14e Biennale d’art contemporain de Lyon qui vient de s’ouvrir met en scène des œuvres mobiles, liquides et atmosphériques.
![](/app/uploads/2017/12/asset-version-7ff2c96a47-221351.jpg)
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-