«Nous sommes des correspondants de guerre»
Le journaliste José Gil Olmos raconte pourquoi tant de ses collègues ont été assassinés. La violence a contraint la profession à revoir sa façon de travailler. Entretien surréaliste.

Nul besoin de chercher une actualité pour évoquer les violences dont sont victimes les journalistes au Mexique. L’actualité, dans l’un des trois pays les plus dangereux pour les représentants de la presseA ce triste palmarès, le Mexique arrive juste après la Syrie et l’Afghanistan. c’est tous les jours. Dernier assassinat en date, le 17 mai dernier: Javier Valdez, correspondant du journal La Jornada et pigiste de l’Agence France Presse, a
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