On le surnomme Veneno depuis qu’un camarade de l’Action catholique, où il a étudié adolescent, lui a collé ce sobriquet finalement révélateur: il empoisonne son entourage et s’est avéré bon à rien. Grand romantique déçu, lecteur de Pablo Neruda, Veneno écrit des poèmes, joue vaguement sur sa gratte, passe son temps à traîner et boire […]
Charme vénéneux
Ariel Bermani situe ce roman à Buenos Aires, capitale argentine.