Et si le milieu de l’art n’était qu’une foire aux vanités où les bons contacts comptent plus que l’œuvre en soi, un jeu de massacre où couler l’autre est la condition nécessaire de la réussite? C’est en tout cas l’impression que laisse la longue nouvelle de Philippe Fretz, Le Vestibule des lâches, publiée cet automne […]
La foire de l’art
«LE VESTIBULE DES LACHES» DE PHILIPPE FRETZ