Il y a quelques mois, nous dressions un constat préoccupant quant au fait que les gouvernements de gauche latino-américains, censés incarner la rupture avec le néolibéralisme, n’en avaient pas moins conservé l’un de ses fétiches les plus vénérés comme référence centrale de leur politique, en l’occurrence, le taux de croissance1 value= »1″>Cf. «Equateur: une victoire et […]
La croissance ou la mort, ¡compañero!
C’EST L’AMÉRIQUE!