Forfanteries phalliques
SOCIETE L’impressionnante «Anthologie des chansons paillardes» réunie par le lexicographe Pierre Enckell témoigne d’une tradition populaire révolue. Entretien avec le psychanalyste Marc Morali, qui en signe la préface.

«La digue du cul», «Ah oui j’le sens bien», «Les filles de Camaret», «Saint Antoine avait un cochon», «C’est la grosse bite à Dudule», «Il était une pétasse», «Tap’ton cul contre le mien»… Qui connaît encore les chansons qui se cachent derrière ces titres? Les paroles sont à l’avenant: obscènes, misogynes et souvent hilarantes. On les appelle parfois «chansons de salles de garde» en référence aux internes des hôpitaux censés
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