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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Derrière les masques, le vide

Artiste maudit boudé par le public mais adulé par l’intelligentsia parisienne, Leos Carax livre avec «Holy Motors» un film déroutant, parsemé d’innombrables références.
Derrière les masques, le vide
A la fin d’Holy Motors DR
Leos Carax

Leos Carax est-il un génie ou un imposteur? La question agite la critique depuis le premier long métrage du cinéaste français, Boy Meets Girl (1984). Les uns ont aussitôt encensé cet héritier autoproclamé de Cocteau et de Godard pour sa poésie empreinte d’un romantisme noir dans l’air du temps, tandis que les autres restaient dubitatifs […]

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