La chronique d’une maison close parisienne haut de gamme à l’aube du XXesiècle semblait promettre un film racoleur, prétexte idéal pour se rincer l’œil sous couvert d’alibi historico-culturel. Qui plus est quand celui-ci est signé Bertrand Bonello, cinéaste obsédé par le corps et la sexualité: Le Pornographe brossait le portrait d’un réalisateur de films X […]
Triste et sublime volupté
FRANCE • «L’APOLLONIDE» DE BERTRAND BONELLO