Cinéma Le temps qu’il nous reste Pour se laisser traverser par le passé recomposé et le temps qui s’effiloche, le Genevois Abel Davoine convoque la langue du corps, ses bégaiements et fins de partie. mardi 15 mars 2011 Bertrand Tappolet Novembre du Genevois Abel Davoine. TRACES CINEMA Documentaire Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste