Inquiété par les autorités de son pays depuis son premier film, Weekend Lover (1995), le Chinois Lou Ye n’a pas perdu pour autant le goût du sujet risqué. En 2006, il présente à Cannes une relecture des événements de Tienanmen (Une jeunesse chinoise). Verdict: censure et interdiction de tournage sur le territoire national pendant cinq […]
Passion, sexe et désespoir
CHINE «Nuits d'ivresse printanière» de Lou Ye file la métaphore des corps pour évoquer la solitude des grands amours contrariés. Très beau.

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