Il a quelque chose des rôles qu’il a interprétés. La carrure physique, sans doute, des Achille et des Gargantua. Mais avant tout, Frédéric Polier cultive le goût de l’ampleur, des adaptations monumentales, du comique rabelaisien, des textes ambitieux. Seule manque au cursus du quadragénaire l’invitation à créer sur un grand plateau romand. «L’institution n’est pas […]
Frédéric Polier. La force des scènes
THEATRE Metteur en scène venu du off, il signe un décapant«Mein Kampf (farce)» au Loup de Genève, avant de prendre la direction de l’Orangerie pour trois ans.
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