Paul Aussaresses, Charles Massu, Marcel Bigeard, Messner. Les annales de la guerre d’Algérie résonnent encore du nom de ces tortionnaires français. A l’époque, tous les moyens sont bons pour mettre un terme au terrorisme du Front de libération nationale (FLN), démanteler le mouvement et empêcher l’indépendance de l’Algérie. L’ennemi et la population se confondent, soit. […]
Succès d’une guerre «à la française»
HISTOIRE – La guerre d'Algérie démarre officiellementle 1er novembre 1954. Cinquante ans plus tard, le Théâtre Saint-Gervais de Genève prend prétexte du rôle diplomatique de la Suisse dans cette «sale guerre» pour organiser exposition, débats et projections. On verra notamment le film «La Bataille d'Alger» de Gillo Pontecorvo, auquel se sont récemment intéressés les militaires américains… comme d'autres avant eux.
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Autour de l'article
«Répondre par la violence aux cris des opprimés, c’est faire fi de l’histoire»
En novembre 1954, Mohammed Harbi étudie l'histoire à Paris. Membre du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MDTL), fondé par Messali Hadj, il occupe par la suite des fonctions...