Dans L’Obscur, Philippe Testa plante le décor d’une époque cynique, sans une once d’espoir ou de rébellion, où les failles entre les classes sociales sont devenues gouffres béants.
Entretien avec Martine Roffinella, écrivaine, chroniqueuse, blogueuse et photographe française,
qui a lancé un feuilleton littéraire pour «sublimer le réel» en ces temps confinés.
En cette période de semi-confinement, les bibliothèques voient décoller les prêts de e-books. Les librairies indépendantes ont quant à elles recours au système D pour survivre à la crise.
Dans son nouveau roman aux allures de polar, l’écrivaine française Rebecca Lighieri raconte l’histoire d’une famille ravagée par la violence et la vengeance.
L’écrivain franco-afghan nous entraîne au Rwanda en ouvrant une double fenêtre, littéraire et cinématographique, pour que le conte et l’image reflètent nos défis communs. Chapeau bas.
L’arrêt des activités lié au Covid-19 met les éditeurs, distributeurs et libraires dans une situation critique. Livre suisse espère un soutien des collectivités publiques.
Le Hussard sur le toit de Jean Giono raconte les ravages du choléra dans la Provence de 1830. Le journaliste et écrivain Maxime Maillard jette des ponts entre ce voyage épique et l’actualité.
Le localier de la Julie Thierry Mertenat raconte son quotidien dans la rue, carnet de notes en main, à l’écoute des drames ordinaires et de l’inattendu.
Paru en 1968 au Japon et resté inédit à ce jour en français, Vie à vendre, le roman de Yukio Mishima, distille une désespérance effervescente et une ironie jouissive.
Dans Il est temps que je te dise, une lettre écrite à sa fille de 13 ans,David Chariandy aborde le thème du racisme, mais aussi celui de l’origine et de l’identité.
Avec le confinement, les bibliothèques rappellent qu’elles proposent de nombreux e-books
à télécharger gratuitement. Le point avec la directrice de la BCU de Lausanne.
Alors que prolifère le coronavirus, la réalité semble rejoindre ces fictions de la contagion qui éclairent notre nature profonde. Car «l’épidémie, c’est l’homme contre lui-même».