Joyeux chaos culturel orchestré une fois l’an par les habitant.es de la rue genevoise, le festival Baz’art est remplacé cette année par un livre à son image. Généreux et foisonnant.
Partir ou rester en Hongrie? Avec l’Anatomie d’une décision, Anna Szücs brosse un tableau personnel d’un moment charnière pour l’histoire d’un pays et d’une famille.
La petite dernière, c’est Fatima Daas, un autoportrait fragmentaire, un chant rythmé sur l’identité, le genre, l’origine, le lien entre amour et écriture.
Dominique Ziegler, Robert Solé, Elisa Shua Dusapin, Leïla Slimani ou encore Bartabas: un éventail de rencontres pour tourner la page d’un printemps tourmenté.
Avec Fille, Camille Laurens longe les frontières de l’autobiographie et de la fiction pour disséquer la violence du patriarcat. Un roman qui s’annonce comme l’un des plus remarquables de la...
Avec Histoire du fils, Marie-Hélène Lafon continue d’écrire le Cantal de son enfance «par cœur et par corps», en une langue qui donne chair à ses romans de filiation et de résilience.
Le Marocain Youssouf Amine Elalamy a remporté le prix Orange du livre en Afrique avec C’est beau la guerre, roman en quatre actes qui dit la guerre et l’exil.