Retour en grâce d’Uber?
Quelques dizaines de chauffeur·euses ont manifesté pour exiger de travailler à nouveau directement avec l’app.
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Quelques dizaines de chauffeur·euses ont manifesté pour exiger de travailler à nouveau directement avec l’app.
Chaskis, la société sous-traitante de la plateforme de livraison de repas, a perdu devant la plus haute juridiction du pays. Elle devra se conformer à la loi sur la location de services.
Deux ans après l’arrêt du Tribunal fédéral sur Uber, la situation des chauffeur·euses stagne. Une coopérative de travailleur·euses relance l’idée d’une application concurrente.
La société MITC qui emploie les chauffeur·eues officiant sur la plateforme Uber a été retoquée par la justice qui estime qu’elle doit demander une autorisation d’exercer.
La Chambre administrative genevoise estime que Chaskis, société partenaire d’Uber, devra se plier à une convention collective de travail. Pour les syndicats, il faut aller plus loin.
La multinationale s’est mise en règle avec la nouvelle législation. Mais de nombreux enjeux restent en suspens, comme le fonctionnement de la plateforme et la cruciale question des conditions d’emploi des chauffeurs.
Déclenchée par les révélations des «Uber Files», une enquête parlementaire française pointe une relation opaque entre le président français et la plateforme de chauffeurs américaine.