Le scandale du logiciel espion israélien arrive devant la justice française. L’avocat plaignant Bertrand Repolt plaide le péril que cette surveillance fait peser sur le droit à l’information du public.
Une pétition lancée par Amnesty International, AlgorithmWatch et Société numérique veut interdire la reconnaissance faciale automatique. Des postulats sont déposés à Lausanne et à Zurich.
L’ampleur du phénomène révélé par Forbidden Stories est effarante. En se basant sur une fuite de 50'000 numéros de téléphone, un consortium de journalistes d’investigation a remonté la trace de...
A Genève, L’Usine a pris position sur les mesures de traçage concernant ses divers publics. Si le centre culturel autogéré ne remet pas en cause la nécessité d’une protection sanitaire, il...
Pierre Santschi alerte quant aux risques d’une application de traçage des contaminations au coronavirus. Il appelle les élus et élues parlementaires à refuser toute entrée en matière sur ce sujet.
Le Parlement fédéral exige une base légale pour l’application de traçage des contacts. Son utilisation devra être avalisée par les chambres lors de la session de juin.
La Suisse et la France vont à leur tour recourir aux smartphones pour traquer le virus. Les prémisses d’un cyber-Etat policier? Le choix de la technologie Bluetooth interroge également.
Les attentes sont élevées et les délais serrés. La Suisse développe son projet d’application de repérage des contacts basée sur Bluetooth, en se distanciant du modèle européen.
Les méthodes du Service de renseignement de la Confédération dans la récolte et le traitement des données doivent changer. Un rapport de l’Autorité de surveillance pointe une série de...
La nouvelle a été révélée mercredi sur le site internet du journal Le Temps: Swisscom aidera la Confédération à détecter les attroupements via les téléphones cellulaires. L’opérateur en mains...
La UK Security Expo, à Londres, exhibait au début du mois de décembre les dernières tendances de l’industrie du contrôle et de la répression. Notre envoyée spéciale y était.
La société qui gère le bâtiment affirme qu’elles étaient inactives. Pointées sur l’espace public, elles ont été enlevées suite aux questions du Courrier.