La Ville de Genève préfère miser sur la qualité en subventionnant notamment l’hébergement en hôtel. Problème: il n’y aura pas assez de places pour tout le monde.
Entre Vaud et Genève, 10’000 personnes sans statut légal ont reçu une première dose de vaccin avec accès au certificat Covid. Un dispositif aussi en place à Neuchâtel.
Une étude de l’université de Genève estime que le canton dénombre 730 SDF. Si le dispositif d’hébergement d’urgence est jugé bon, il ne répond pas à tous les besoins et n’est pas pérennisé.
Les débordements récents du Rhône mettent en lumière les conditions de vie difficiles de certaines familles, notamment Roms. Le manque de places d’accueil est pointé du doigt.
Le Grand Conseil a invité vendredi le Conseil d’Etat à prolonger l’opération des repas à 3 francs pour les étudiant·es de l’université, et à élargir la mesure aux hautes écoles.
A Renens, des associations et la Ville ont œuvré ensemble pour proposer une aide d’urgence
aux plus précaires, sous la forme de soutien financier et de conseils.
Thierry Apothéloz, conseiller d’Etat chargé du Département de la cohésion sociale, a fait la liste des nombreuses mesures prises en réponse aux impacts sociaux de la pandémie.
Pandémie de coronavirus, augmentation de la mendicité, zèle policier: les obstacles s’accumulent depuis un an pour les vendeurs et vendeuses du journal LaFeuille de Trèfle.
Cinquante-six sans-abris, dont onze enfants, sont logés dans des bâtiments voués à la démolition à Lausanne. Ils doivent quitter les lieux en juin. Rencontre.
Alors que les abris hivernaux ferment leurs portes, le CausE alerte sur le manque récurrent de solutions d’hébergement pour les plus précaires. Les politiques réagissent, lentement.
Jeudi soir, le Grand Conseil a voté à l’unanimité une motion réclamant au Conseil d’Etat de garantir l’accueil d’urgence des sans-abri le temps que dure la pandémie.
Face à une crise sanitaire qui a contribué à accroître les inégalités et laissé beaucoup de monde sans ressources, les CSP romands plaident pour un élargissement de l’aide sociale.
L’aide d’urgence aux salarié·es précarisé·es par les effets de la pandémie a été acceptée par 68,82% du corps électoral. La solidarité l’a emporté sur la question du travail au noir.
A la suite d’une augmentation de 40% des demandes de soutien financier et un pic considérable d’appuis psy, l’université de Neuchâtel assouplit ses critères d’aide.
La Communauté genevoise d’action syndicale a lancé lundi «une semaine d’actions pour appeler à ne pas faire des travailleuses et travailleurs les laissés pour compte de cette crise».