La section genevoise de l’Association de défense des locataires encourage les locataires à contester les hausses résultant de l’augmentation du taux de référence hypothécaire.
Le marché de studios ou appartements meublés se développe sur le canton. A la rue de la Coulouvrenière, un immeuble vide depuis trente ans abrite depuis peu ce type de logement.
Depuis la hausse du taux de référence hypothécaire en juin, une première depuis 2008, la permanence de l’Asloca Genève est submergée de locataires en panique.
Vendredi soir, une manifestation pour le droit au logement a rassemblé 350 personnes. En marge des événements de la rue Royaume, le rassemblement s’est heurté à la police.
Des opérations immobilières illégales seraient courantes, faute de contrôle suffisant. Les locataires payent et l’Asloca voit sa mission menacée par des procédures judiciaires.
Deux commissions parlementaires refusent de lutter contre les loyers abusifs par un contrôle sur les rendements immobiliers. L’Asloca grince des dents.
A Genève, la précarité pousse certaines familles à la rue. Les acteurs sociaux font leur possible pour qu’elles accèdent à un logement et qu’aucun enfant ne dorme dehors. Reportage.
A Lausanne, les 56 personnes sans-abri ayant dû quitter leur logement d’urgence chemin Isabelle-de-Montolieu devraient être relogées d’ici au 1er mars.
L’Asloca lance une initiative pour soutenir la rénovation énergétique des bâtiments sans pénaliser les locataires. Les propriétaires pourraient y trouver leur compte.