Les syndicats Unia et SIT ont annoncé vendredi que la société avait donné son feu vert pour sauver des emplois, acceptant d’étudier les candidatures de 120 coursiers.
Le licenciement collectif d’environ 150 livreurs·ses de repas par un sous-traitant de Smood met en lumière la vulnérabilité des ces emplois et la précarité du secteur.