Le Tribunal fédéral exige la réintégration d’un inspecteur du travail injustement licencié. Un dénouement qui clôt trois années de descente aux enfers pour le fonctionnaire et sa famille.
L’Office cantonal de l’inspection et des relations du travail, passablement secoué par des affaires ces derniers mois, se réorganise sur fonds de démissions et d’engagements.
Démissions, licenciements, collaborateurs déplacés et arrêts de travail sont le signe de dysfonctionnements dans le service. Un audit préconise une remise à plat de l’organisation.